Pascal Barnier a d’abord découvert la photographie comme
un hobby.  D’un naturel curieux, dès l’acquisition de don premier
boitier 24x36 il a commencé à expérimenter les possibilités
de prises de. Il s’est d’abord consacré aux portraits de paysages
nocturnes, de coucher de soleil, de ciels étoilés, dans des sites
déserté de promeneurs, mais en pensant portrait studio.

C’est ainsi qu’il a décortiqué les pauses longues, la surimpression,
la surexposition. Il s’est ainsi aperçu que le noir complet n’existait
pas plus que le silence total.
Une autre étape a été de s’apercevoir que, même en se concentrant
sur un cadrage, une lumière, ces infos qui se transmettent à travers
l’objectif, il y a aussi celles de ceux qui se passent derrière, au-dessus,
à droite, à gauche. Et que ce fameux instant où l’on appuie sur
le déclencheur et celui où les informations s’harmonisent comme
une partition. Et c’est cette écriture qui guide ses réflexions créatives.
A l’instant où il commence une  création, il a un sentiment à l’esprit.
Comme une phrase musicale.  Et au fur et à mesure qu’il plonge
dans ses archives, certaines prises de vue entre en résonnance avec
la phrase musicale primaire. Ce principe s’appelle l’harmonique.
Après ces découverte, un bac pro imprimerie et industries graphiques
lui a appris à utiliser un banc de reproduction, à retoucher des images
à la main et aux final à numériser et corriger des images
digitalement. Ses acquis ont été développés dans des imprimeries
et studio graphiques.
C’est à cette période qu’il a gagné ses premiers prix photo couleurs
avec des poses longues.
La majorité de ses weekends était consacrés à la prise de vue.
Sur des poses longues non retouchées, il a remporté 2 années d’affilée
le 1er prix couleur des rencontres photographiques de Château-Arnoux, 04.
En 1995, CAP projectionniste 35mm : cours d’optique, décryptage
des métiers des plateaux de tournage, éclairage en continue, règles
du scénario, mouvement de caméra et écriture visuelle, montage vidéo..
Quelques années plus tard, l’opportunité de devenir chargé des relations
publiques et du fonctionnement de la Fondation CARZOU à Manosque.
Une fresque de près de 700 m2. <l’opportunité d’observer une fresque
sur toile à l’envie. La construction de chaque partie, les traits, les couleurs,
les contraste, le symbolisme.
En 2000, il suit le cursus du DU de Langues des signe à U3 Aix-en-Provence.
Confirmation  que les codes de lecture des langues visuelles sont différents
de ceux des langues parlées, et induisent des circuits cognitifs différents.
En 2007, il expose à San Francisco.et fait moisson de prises de vue de la ville.
2008, il passe pro. Comme Photographe plasticien en continuant
les recherches sur les formats et supports ainsi que sur le rendu
des portraits harmoniques, expose en Italie.

2013 : Finaliste Photo de l’édition 2012 des Talents contemporains
de la Fondation François Schneider (8 finalistes sur 800 inscrits
en photographie).
2015 : Investissement dans un boitier numérique professionnel et
l’apprentissage de nouvelles techniques de prise de vue.
Chaque jour a une nouvelle lumière, une nouvelle orientation, est un
nouvel apprentissage.
Si la technique de base reste la même, le rendu évolue. Les échanges
avec le public permettent de constater que la transmission se fait,
qu’il y a des attirances, des questionnements, et des réponses pour
ceux qui acceptent le voyage que leurs proposent les images.

Pascal Barnier first discovered photography as
a hobby. Of a curious nature, from the acquisition of the first gift
24x36 box he began to experiment with the possibilities
of catches. He first devoted himself to landscape portraits
nocturnal, of sunset, of starry skies, in sites
deserted by walkers, but thinking studio portrait.

This is how he dissected the long pauses, the superimposition,
overexposure. He thus realized that complete darkness did not exist.
no more than total silence.
Another step was to realize that, even by concentrating
on a framing, a light, this information which is transmitted through
the objective, there are also those of those who happen behind, above,
right, left. And that famous moment when you press
the trigger and the one where the information aligns like
Partition. And it is this writing that guides his creative thoughts.
The moment he begins a creation, he has a feeling in mind.
Like a musical phrase. And as he dives
in his archives, certain shots resonate with
the primary musical phrase. This principle is called the harmonic.
After these discoveries, a professional baccalaureate in printing and graphic industries
taught him how to use a reproduction bench, to retouch images
by hand and final to digitize and correct images
digitally. Its achievements were developed in printing works
and graphic studio.
It was during this period that he won his first color photo awards.
with long exposures.
The majority of his weekends were spent shooting.
On unretouched long exposures, he won 2 years in a row
the 1st color prize of the photographic meetings of Château-Arnoux, 04.
In 1995, CAP projectionist 35mm: course in optics, decryption
film set jobs, continuous lighting, rules
of the script, camera movement and visual writing, video editing..
A few years later, the opportunity to become a relationship manager
services and the operation of the CARZOU Foundation in Manosque.
A fresco of almost 700 m2. <the opportunity to observe a fresco
on canvas as desired. The construction of each part, the lines, the colors,
the contrasts, the symbolism.
In 2000, he took the DU course in Sign Languages at U3 Aix-en-Provence.
Confirmation that the visual language reading codes are different
from those of spoken languages, and induce different cognitive circuits.
In 2007, he exhibited in San Francisco and harvested shots of the city.
2008, he turns pro. As a visual artist continuing
research on formats and media as well as rendering
harmonic portraits, exhibited in Italy.

2013: Photo Finalist of the 2012 edition of Contemporary Talents
of the François Schneider Foundation (8 finalists out of 800 registered
in photography).
2015: Investment in a professional digital box and
learning new shooting techniques.
Every day has a new light, a new direction, is a
new learning.
If the basic technique remains the same, the rendering evolves. Exchanges
with the public make it possible to see that the transmission takes place,
that there are attractions, questions, and answers for
those who accept the journey that the images offer them.